segunda-feira, 20 de fevereiro de 2012

Vieux Port de Marseille (poema de viagem 3)


Lorsque je me demande si la France est encore belle
Dabord reste le doute: la France, qui est Elle?

Je marche dans les rues du Vieux Port de Marseille
Et maperçois que la foule suive sans nom ou patrie,
En parlant des langues de partout au monde,
Ils bavardent, ils rient, ils chantent, ils crient.

Par les rues du Vieux Port je me sens perdu
Dans la vie comme elle est, sans mystére déguisée.
La vie qui est libre, riche et pauvre, conquise
Pour la foule de cette rue qui a la voix de la vie...

Mais un pain aux olives ramène le souvenir
Du parfum dun ancien bois oublié.
Des siècles de culture peuvent être perçus
Dans le goût dun gâteau ou dans le verre dun bon vin.

La France ne rêve plus de Fraternité,
Elle se donne aux affaires que être frère nous impose:
Reconnaître en sois même à ce qui en est le divers,
Permettre, à sois même, de ressentir à linverse.



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